Ces mobiles, associant la souplesse aérienne des plumes à la rigueur de tiges en inox, se déploient dans un jeu subtil d’équilibre et de mouvement. Chaque élément réagit au moindre souffle, rendant visible l’invisible : la présence fugace d’âmes jamais nées, la mémoire persistante de celles qui nous ont quittés. Par le dialogue entre légèreté organique et structure métallique, l’œuvre interroge le lien entre absence et présence, entre le plein et le vide, dans une respiration où le mouvement devient trace.